
Saint-martin-Sepert tiendrait son nom bien singulier de l’évêque Martin-de-Tours, canonisé pour son apostolat rural dans la gaule du IVe siècle, mais surtout des sept poiriers qui devaient entourer l’église de la paroisse vers l’an 1000.
Le latin « Ecclésiam de Septem Piris » serait devenu « Set Pers » en occitan, avant de s’altérer progressivement vers « Sepert ».
Horloge 
Au-delà de cette appellation "Sepert" originale, la commune semble avoir voué un petit culte à l’insolite puisqu’on y découvre que la grosse horloge n’est pas installée sur le clocher de l’église mais… sur le mur du presbytère. Plus étonnant encore, en l’absence de cloches, quelques paroissiens ingénieux ont récupéré une vieille sonnerie de gare de chemin de fer qu’ils ont reliée à la pendule. Les anciens se souviennent que c’est à l’aide de ce signal que le curé conviait ses ouailles à l’office.
Désormais, le presbytère a été transformé en logement - Les cloches et l’horloge ont été électrifiées et la cloche de la gare est toujours là, en souvenir.
Eglise des "Sept Poiriers
"
L'église fut donnée avec l'abbaye de Solignac dans le Haut-Limousin le 23 mars 872 ou 922 par Charles le Chauve ou Charles le Simple.
Elle est appelée l'église des SEPT POIRIERS "Eclésiam de septem piris" ce qui a fait "SEPT PERS" en patois local
puis "SEPERT " par une altération graduelle commencée dans le langage vulgaire au temps des cartulaires.
Elle est appelée l'église des SEPT POIRIERS "Eclésiam de septem piris" ce qui a fait "SEPT PERS" en patois local
puis "SEPERT " par une altération graduelle commencée dans le langage vulgaire au temps des cartulaires.
Sépulture du Général Materre 
Au cimetière, stèle en marbre de carrare restaurée en 2006 sur laquelle figure un très beau texte.
Le général Materre, général d'Empire, né à Limoges en 1772, mort à Eyburie en 1843 et inhumé dans le tombeau familial de Saint-Martin-Sepert où ont vécu ses anciêtres au village de Montagnac.
Le général Materre, général d'Empire, né à Limoges en 1772, mort à Eyburie en 1843 et inhumé dans le tombeau familial de Saint-Martin-Sepert où ont vécu ses anciêtres au village de Montagnac.